« יהו-ה ימלך לעלם ועד »

« Hachem/יהו-ה règnera pour toujours et encore » (Chemot [L’exode], Bechala’h, 15,18).

Hachem יהו-ה, Torah תורה et Paix שלום.

Le Zohar nous dit (Qora’h 176 a et b) :

« ומאן דפליג על שלום, פליג על שמא קדישא, בגין דשמא קדישא, שלום אקרי. תא חזי, לית עלמא קאים אלא על שלום »

« et celui qui divise la paix divise Le Nom Saint car Le Nom Saint s’appelle paix. Viens vois, le monde ne tient que sur la paix ».

Ramaq commente et nous dit : Le Tétragramme יהו-ה YHWH est appelé paix / שלום.

La valeur numérique du mot Torah / תורה est 611. Sa valeur « miroir » : 116.

ה ר ו ת
611 = 5 200 6 400

Ce schéma « aller-retour » — 611/116 — s’inscrit dans le même mouvement que nous avons exploré précédemment, inspiré par le premier verset de la Torah (37/73) :

6
1
1

Nous reviendrons plus loin sur ces valeurs numériques. Avant cela, il nous faut faire quelques petits « détours ».

Tout homme qui s’engage sincèrement dans l’étude de la Torah découvre tôt ou tard par lui-même que Torah et Chalom / שלום / Paix ne font qu’Un. La Torah est le principe même de la Paix.

La Paix est une finalité en soi, peut-être même la plus élevée. Et le roi שלמה / Chelomoh nous enseigne, dans Michlei (Proverbes 3,17), que la Torah est la voie pour y parvenir :

« וכל נתיבותיה שלום » – « Et tous ses sentiers sont paix. »

Dans ce verset, Chelomoh parle de la ’Hokhmah / חכמה / Sagesse — que nous avons « longuement » approchée précédemment. Et comme l’enseigne Rachi (Rabi Chelomoh ben Yits’haq, Troyes 1040–1105) deux versets plus loin (Michlei 3,19) : « ’Hokhmah », c’est la Torah.

Toute personne saine — psychiquement comme intellectuellement — reconnaît intuitivement que la Paix est une valeur morale suprême. Elle est essentielle, fondamentale, primordiale. Et pourtant, elle demeure inaccessible à l’homme, imperméable à son cœur. Elle est si haute, si noble, qu’elle semble insaisissable — bien que chacun, dans la certitude de ses convictions, pense sincèrement avoir compris ce qu’est la Paix. Mais la réalité, nos réalités, nos vécus, disent tout le contraire.

L’Histoire du monde — tout comme l’histoire intime de chacun — en témoigne abondamment. Les conflits personnels, « microcosmiques », les guerres mondiales, « macrocosmiques », tous attestent que la Paix reste une énigme, un mytère. Une sorte de Graal.

Pourquoi ?

Parce que l’homme porte en lui un voile, un écran, une écorce (קליפה – qelipah) redoutable : l’orgueil. Les Maîtres d’Israël nous enseignent que l’orgueil est le défaut le plus grand, la mesure (midah) la plus compliquée à équilibrer.

Si l’on prend le temps d’observer avec sincérité — en braquant les caméras sur soi-même plutôt que sur les autres — on constatera que l’orgueil cherche toujours à s’imposer… et y parvient bien souvent. Il est « tapi à notre porte ». Latent ou manifeste, subtil ou évident, il finit tôt ou tard par s’infiltrer, même fugitivement. Et lorsqu’il injecte son venin, un grand mal peut en découler, provoquant parfois des ravages durables. (Au sujet de l’orgueil, voir notamment le Ram’hal : Messilat Yecharim / Les Sentiers (des) Droits).

L’orgueil puise sa force au cœur du Yètser Harâ / יצר הרע, le mauvais penchant — cette force obscure que nos Maîtres décrivent comme inépuisable et très très puissante. Il est rusé. Mal combattu, mal abordé, il se renforce et devient encore plus sournois.

L’homme dominé et soumis à son orgueil est, sans le savoir, comme un esclave qui se croit libre.

En vérité, l’orgueil est l’adversaire intérieur le plus tenace et le plus virulent de l’homme, car il est comme le roi des défauts, leur “chef”, leur moteur. Tous dépendent de lui. Il est aussi — selon moi — une émanation directe du principe même de l’Avodah Zarah / עבודה זרה : l’idolâtrie.

Ainsi, deux hommes orgueilleux (ce qui est presque un pléonasme) en conflit ne pourront jamais atteindre une paix sincère.

Prenons un exemple simple, mais éloquent et universel : dans le couple, l’orgueil est l’un des poisons les plus destructeurs. Or c’est précisément là, dans le couple véritable, que tout être humain est invité à éduquer son orgueil, à le domestiquer, à le dominer.

Plus l’orgueil s’étale, plus la Paix se retire. Et plus la Paix s’éloigne, plus la Torah se dissipe.

La Torah, antidote absolu à l’orgueil

L’antidote véritable à l’idolâtrie / עבודה זרה / Avodah Zarah, ainsi qu’à l’orgueil, est précisément la Torah.

L’homme qui étudie sincèrement la Torah comprendra inévitablement que seul ce chemin — exigeant et sans fin — permet d’affronter ce combat intérieur si dérangeant. Les Sages d’Israël nous enseignent qu’un homme ne doit pas se faire confiance jusqu’à son dernier souffle. » (Pirkei Avot / Éthique des Pères 2,4 enseignement de Hillel l’Ancien : « Ne te fie pas à toi-même jusqu’au jour de ta mort »).

L’étude de la Torah ne garantit pas une victoire totale sur l’orgueil, car cela dépend aussi de l’homme lui-même bien entendu. À vision humaine, cette victoire semble d’ailleurs presque inaccessible. Mais la Torah ouvre un chemin. Elle amorce un processus. Elle met en lumière les contours souvent flous de cet adversaire intérieur : parfois visible, parfois dissimulé ; parfois brutal, parfois subtilement élégant. Elle rend possible une forme de maîtrise, humble, progressive, authentique.

La Torah est donc l’antidote. Et pour transmettre Sa Torah, Hachem choisit Moché / משה. Il est l’intermédiaire entre le Ciel et la Terre, le canal vivant entre Hachem et Israël. Or, la Torah elle-même affirme de lui qu’il fut le plus humble des hommes (Bamidbar / Nombres 12,3). Et l’humilité, nous le savons tous, est l’opposé radical de l’orgueil.

Le nom משה / Moché apparaît pour la toute première fois dans la Torah dans le second Livre, Chemot / שמות / L’Exode, au chapitre 2, verset 10.

Et là, un détail bouleversant se dévoile : ce nom משה est le 376ᵉ mot de ce second Livre.

Or, 376 est la valeur numérique du mot שלום / Chalom / Paix :

שלום = ש (300) + ל (30) + ו (6) + ם (40) = 376

Et le Ramaq nous enseigne que la Paix unit l’en-haut et l’en-bas (Zohar Qora’h, dimanche — ‘Hoq LéYisraël, Michael Sebban, Beit haZohar)…

L’orgueil crée une distance entre l’homme et la Torah — donc, entre l’homme et la Paix. À l’inverse, l’humilité ouvre la porte : elle permet de recevoir la Torah et, par elle, d’entrer dans la dynamique de la Paix. Il n’est sans doute pas anodin que le nom de Moché — modèle d’humilité — fasse sa première apparition précisément à cet endroit, suggérant la Paix.

Ainsi, l’accès à la Paix passe par l’humilité et la Torah, à l’image de notre Maître Moché ע’’ה, incarnation parfaite de l’humilité et canal par lequel la Torah fut révélée au monde.

Torah et Paix

La Torah et la Paix sont donc indissociables.

Les Sages d’Israël enseignent que l’étude de la Torah, c’est étudier le Nom de Hachem / יהו-ה. Autrement dit, la Torah, c’est le Nom. D’ailleurs, la Paix est un des Noms de Hachem.

Regardons de plus près.

La valeur numérique du Nom ineffable / יהו-ה  est 26. La valeur de « Mon Nom / שמי / Chémi » est 350.

Ensemble : שמי יהו-ה = 350 + 26 = 376 (Chemot 6,3) (ש 300 + מ 40 + י 10 + י 10 + ה 5 + ו 6 + ה 5)

Donc : « Mon Nom Hachem = Paix » = שמי יהו-ה = שלום) 376)

Revenons à cette promesse magnifique, inscrite dans Chemot / Bechala’h, chapitre 15, verset 18 :

« יהו-ה ימלך לעלם ועד »
« Hachem règnera pour toujours et encore »

Ce verset porte lui aussi la valeur 376.

יהו-ה ימלך לעלם ועד ועד לעלם ימלך יהו-ה
376 = 80 170 100 26

Il semble qu’aucun autre verset du Tanakh entier ne porte cette valeur précise.
C’est le seul.

Cette correspondance entre Paix / שלום, Mon Nom Hachem / שמי יהו-ה, et la Royauté ultime de Hachem, 376, parle d’elle-même. La Paix Véritable, complète, inaltérable, ne sera possible que lorsque Hachem se dévoilera.

Or, l’étude de la Torah — et plus encore l’intégration de ses enseignements dans le monde réel — c’est déjà dévoiler Hachem, tel que Sa Sagesse Infinie l’a décrété.

Il va donc de soi que la Paix ne pourra naître, et ne pourra durer, que par la Torah. נקודה !

Mais poursuivons, avec l’aide d’Hachem בע’ה, comme nous l’avons fait au commencement de cette rubrique, notre immersion dans l’univers des lettres hébraïques et des nombres qui leur sont associés.

Fusionnons à présent les deux dynamiques de la valeur numérique du mot תורה / Torah : son rayon incident et son rayon réfléchi. Nous obtenons : 611 × 116 = 70.876

Décidément, la Torah de Hachem (ב״ה) regorge de « heureux hasards » ח׳ו (qu’à D.ieu ne plaise) ! Nous croulons littéralement sous une multitude de « coïncidences » (ח׳ו), toutes plus surprenantes les unes que les autres.

En voici une nouvelle, absolument incroyable et fascinante, d’une pertinence sidérante : le nombre 70 876 que nous venons de dévoiler ci-dessus (116 x 611) n’est autre que la somme cumulative des entiers de 1 à 376.

Or, comme nous le savons, 376 est précisément la valeur numérique du mot שלום / Chalom / Paix !

116 × 611 = ∑₁–₃₇₆ (1 + 2 + 3 + … + 376)

Ce calcul, net et parfait, semble nous enseigner — sans détour — qu’il n’existe de véritable paix que par la Torah. La Torah EST Paix. Cette montée arithmétique progressive, sans faille, nous mène à la complétude du שלום — pléonasme(s) — une paix intégrale, façonnée par la fusion de la Torah avec elle-même, à travers ses deux pôles de lumière : l’incidence et la réflexion.

Cette fusion 611–116 semble suggérer un mouvement d’étude constant de la Torah, sans interruption : un va-et-vient inlassable, semblable à l’alternance continue du jour et de la nuit, qui s’enchaînent avec une rigueur parfaite, dans une harmonie inaltérable.

Ce mouvement rappelle aussi, de manière ‘symbolique’, celui de notre planète : en rotation perpétuelle sur elle-même tout en tournant autour d’un soleil « immobile ». Ce double mouvement contraint l’hémisphère plongé dans l’obscurité à « se tenir à l’envers » par rapport à la lumière du soleil, pour ensuite « se remettre à l’endroit » au terme de la nuit, dans le lent basculement vers l’aube.

Cette fusion 611–116 n’est pas sans rappeler ce verset du livre de Yehoshoua / Josué (1,8) :

« לא ימוש ספר התורה הזה מפיך והגית בו יומם ולילה »
« Ce livre de la Torah ne quittera pas ta bouche, et tu y méditeras jour et nuit. »

Comme l’enseignent nos Maîtres (et comme nous le récitons chaque matin dans la prière) :

Rav El‘azar dit au nom de Rav ‘Hanina :

« les Sages (de la Torah) augmentent la paix dans le monde »

« תלמידי חכמים מרבים שלום בעולם »

Le chemin vers la paix véritable est rigoureux. Il ne tolère aucun raccourci. Chaque étape doit être vécue, intégrée, scellée. Seule la Torah trace cette voie et guide, pas à pas, celui qui la suit vers une paix authentique, qu’elle soit personnelle ou collective.

Une paix nettoyée de tous les « égorgueils » , préservée de la soif maladive de pouvoir, affranchie des passions destructrices. Une paix reconnectée à son Essence, purifiée de toutes les dérives humaines.

Lorsque nous additionnons les entiers de 1 à 376, nous construisons un édifice solide, structuré, un véritable pilier pyramidal. De même que nous l’avons fait plus tôt avec le mot חכמה / ’Hokhmah / Sagesse — et avant cela avec les 7 jours de la Création — nous appliquons ici aux entiers de 1 à 376 une démarche de type ריבוע / ribouâ.

Précisons que, dans ce cas, nous n’agrégeons pas chacun des étages intermédiaires, mais ne retenons que le dernier palier — le sommet — c’est pourquoi je parle de méthode « de type ribouâ ».

Toutefois, en allant au bout du processus de cette méthode « ribouâ », c’est-à-dire en additionnant tous les étages (1 + 3 + 6 + 10 + …), on obtient 8.930.376 !

Voici deux visions du même processus — l’une montante, l’autre descendante — structurant notre édifice « Torah-Paix », dont nous arrêtons ici l’illustration au chiffre 7, symbolisant les 7 jours de la Création :

    1

    1    +    2

    1    +    2    +    3

    1    +    2    +    3    +    4

    1    +    2    +    3    +    4    +    5

    1    +    2    +    3    +    4    +    5    +    6

    1    +    2    +    3    +    4    +    5    +    6    +    7

    etc. jusque 376

    etc. jusque 376

    1    +    2    +    3    +    4    +    5    +    6    +    7

    1    +    2    +    3    +    4    +    5    +    6

    1    +    2    +    3    +    4    +    5

    1    +    2    +    3    +    4

    1    +    2    +    3

    1    +    2

    1

     

    En juxtaposant ces deux structures triangulaires — légèrement décalées — nous formons le Bouclier de David, מגן דוד / Magen David.

    Épiçons délicieusement notre émerveillement face à de telles justesses.

    Le mot « paix / שלום / Chalom », en tant que tel, n’apparaît pour la première fois dans la Torah qu’au 376ᵉ verset !

    Le voici (Berechit / Genèse 15,15) :

    « ואתה תבוא אל אבתיך בשלום תקבר בשיבה טובה »
    « Et toi (Avraham), tu viendras vers tes pères en paix… »

    Clôturons à présent cette introduction consacrée au principe « rayon incident – rayon réfléchi ».

    Nos Sages nous enseignent que l’alphabet dans son ordre classique — de la première à la dernière lettre, de א (alef) à ת (tav) — porte en lui la dimension masculine.

    À l’inverse, l’alphabet dans l’ordre opposé, c’est-à-dire de ת (tav) à א (alef), représente la dimension féminine. Cet alphabet, dit « inversé », est nommé אתבש / ATBACH. Il est comme le rayon réfléchi de son « époux », l’alphabet masculin, descendant.

    (cliquez « ici » pour accéder à l’alphabet ATBACH ainsi que pour comprendre son fonctionnement pratique).

    א
    ב
    ג
    ד
    ה
    ו
    ז
    ח
    ט
    י
    כ
    ל
    מ
    נ
    ס
    ע
    פ
    צ
    ק
    ר
    ש
    ת

    Ce couple d’alphabets forme un mouvement complémentaire, une sorte de danse continue de type « aller-retour », « va et reviens », comme nous l’avons souvent souligné dans cette rubrique. Ce processus, disions-nous, s’opère dans une sorte de nano-instant-éclair.

    Évoquons à ce propos le verset du prophète Ézéchiel / יחזקאל (chapitre 1, verset 14) :

    « והחיות רצוא ושוב כמראה הבזק »
    « Et les ‘hayiot couraient et revenaient comme la ressemblance (de) l’éclair. »

    Concentrons-nous sur ces deux mots de ce verset רצוא ושוב — « ils couraient et revenaient », qui expriment ce mouvement de va-et-vient, ce battement constant entre expansion et retour, émission et réception.

    La somme des valeurs numériques/énergétiques de רצוא ושוב donne… 611 : תורה / Torah.

    רצוא ושוב ושוב רצוא
    611 = 6+300+6+2 = 314 200+90+6+1 = 297

    Ce mouvement רצוא ושוב — aller et retour — est donc le mouvement même de la Torah. Elle est ce flux. Elle est ce battement. Elle est cette dynamique incessante.

    D’ailleurs, rappelons le verset des Tehilim / Psaumes 147,15 :

    « השלח אמרתו ארץ עד מהרה ירוץ דברו »
    « Il envoie Sa parole sur la terre, avec une extrême rapidité court Sa parole. »

    Ici encore, la Torah est une parole qui « court », une parole vivante, projetée dans le monde.

    Ce n’est donc pas une course désordonnée, mais une course rigoureuse, maîtrisée, ordonnée. Une dynamique où rayon incident et rayon réfléchi ne s’opposent pas mais se complètent dans l’unité.

    Restons pleinement dans notre sujet. Portons notre attention sur les deux mots : « ירוץ דברו », que l’on peut traduire par : « elle courra Sa Parole ».

    Cette fois-ci, appliquons une permutation des lettres en utilisant l’alphabet dit « féminin », « réfléchi », c’est-à-dire le système אתבש / ATBACH.

    Classique ירוץ ץ ו ר י
    306 90 6 200 10
    ATBACH מגפה ה פ ג מ
    128 5 80 3 40
    Classique דברו ו ר ב ד
    212 6 200 2 4
    ATBACH קשגפ פ ג ש ק
    483 80 3 300 100

    Le total ATBACH des deux mots est donc : 128 + 483 = 611 : Torah / תורה !

    Autrement dit, la permutation par l’alphabet féminin, le reflet, fait ressurgir la Torah.

    Pour renforcer ce message, rappelons ce que le roi David nous enseigne, Tehilim / Psaume 31, verset 25 :
    « חזקו ויאמץ לבבכם כל המיחלים ליהו-ה »
    « Renforcez-vous (soyez forts) et affermissez votre coeur (ayez votre coeur ferme) tous qui espérez en (vers/pour) Hachem. »

    Regardons la valeur numérique de ce verset :

    ליהו-ה המיחלים כל לבבכם ויאמץ חזקו
    611 = 56 143 50 94 147 121

    Ici encore, la réponse est donnée par la valeur : 611 = תורה.

    Se renforcer, affermir son cœur, espérer en Hachem… tout cela passe par l’étude, l’intériorisation et l’application concrète de la Torah.

    Car la Torah est vivante. Elle va et revient, telle une éclaircie fulgurante. Elle trace dans notre monde des lignes de lumière, et retourne à sa Source dans un mouvement perpétuel. Elle est force, courage, espérance, élévation. Elle nous construit, nous façonne en tant qu’individus, mais aussi en tant que corps collectif, peuple, nation, Etat.

    C’est à l’Homme, et à lui seul, qu’il appartient de s’y attacher ou non.
    Hachem nous a donné le plus précieux des dons : le libre arbitre.
    Soyons à la hauteur de ce don inestimable.

    [1] Voir un exemple de « mise en mouvement » du rayon incident – réfélchi, cours du Rav David Menache ז’ל, à partir de la 5,18ième minute jusqu’à la (+/-) 6ème minute :  https://www.youtube.com/@RavDavidMenache

    [2] ∑1-376 : 1+2+3+…+374+375+376 = 70.876 = 611 x 116 !

    [3] Berechit, Lekh Lekha, 15,15. Notons que « en paix בשלום »  est le 4.831e mot de la Torah. Nous en parlerons à un autre endroit.